Le jury est certes rigoureux parce que composé d’experts mais, il faut défendre bec et ongles son projet formulé à partir d’un sujet lié au stage effectué en entreprise. C’est l’exercice auquel ont été soumis les 23 et 24 Février dernier, la trentaine d’apprenants des filières Hôtellerie et Restauration et de l’Ecole de Haute Couture du CEF-CAFRAD à Bonabéri arrivés au terme de leur année académique 2021-2022. Pour faciliter les échanges et permettre aux souteneurs d’exposer leur savoir- faire, la somptueuse salle des fêtes a été mis à leur disposition. Pour les apprenants de l’Hôtellerie et Restauration qui ont ouvert le bal des hostilités dès le 23 février 2022 les sujets tournaient autour tout ce que l’apprenant aura appris et sera inspiré pour en faire un thème pour sa soutenance. De ce fait, les critères d’évaluation selon le jury composé des membres de la Délégation Régionale de l’Emploi et de la Formation Professionnelle pour le Littoral et de maîtres de stage, reposaient sur la présentation et la maîtrise du projet couronnés d’une phase de questions- réponse pour permettre aux souteneurs de glaner plus de points pour espérer une mention. 

Membres du jury et la candidate de l’Ecole de Haute Couture ayant obtenu la mention EXCELLENT

 Une mention justement qui a été au rendez-vous de ces soutenances des apprenantes de l’Ecole de Haute Couture poursuivies le 24 Fevrier2022. Avec une moyenne de 18 /20 suivie de la mention EXCELLENT, la candidate NKAKOP AMANDINE CREOLE du niveau III de gravir la première marche du podium. Ses tenues dotées d’authenticité et de créativité digne d’un styliste hors echelle, le tout bien porté son mannequin répondaient aux normes de la mode et ont laissé le jury sans voix.

Tout compte fait, avant la fin de chaque année académique au CEF-CAFRAD, ces moments d’évaluation de la compétence (avant la promulgation des résultats finaux qui prennent aussi en compte les notes des évalautions faites tout au long de l’année) permettent aux candidats de connaître leur niveau de connaissances acquises et au centre de se rassurer sur la nouvelle pépinière mise sur le marché de l’emploi camerounais. Toujours est-il qu’à la fin, le défi est relevé avec un bon nombre qui intègre le monde professionnel ou travaille à leur propre compte.

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