Une quinzaine de jeunes âgés entre 20 et 37 ans au terme de leur formation en informatique et maquillage ont reçu ce 10 Mars 2022, leurs parchemins y relatif. Un document qui leur permettra d’être employé ou de s’auto-employer afin de tordre le cou au chômage qui rythme leur quotidien.

Récipiendaires et formateurs

Ce sont dont deux cuvées lourdement outillées vont devoir soit affronter les défis du monde professionnel en cherchant un emploi dans leur domaine de prédilection; soit entreprendre d’elles-mêmes. Pour les apprenantes en informatique, l’accent a été mis sur quatre principaux modules :  Excel ; Publisher ; Powerpoint et Word pendant 4 mois.  Lesquels modules leur donnent accès au montage de tableaux de bord, des calendriers et traitement de texte. Ceci grâce à une parfaite maîtrise de l’outil informatique qui, pour la plupart était nouveau. Un véritable fruit des efforts consentis par le formateur et le caractère beaucoup plus pratique de la formation. Cela a été observé au cours lors d’une séance de démonstration au public présent. Des instants très suivis et acclamés.

Autre formation ; celle du maquillage qui a elle aussi consisté en plusieurs modules dont le make-up flash ; jour ; nuit ; les poses-cils et ongles avec pour bonus la pose vernis gel. La patience et la compréhension de la formatrice ont permis aux apprenantes de surmonter toutes les difficultés et de devenir à leur tour les maîtresses du pinceau. Une expérience bien acquise, démontrée séance tenante. Quelques volontaires dans le public ont pu bénéficier des soins gratuits des mains de ces désormais maquilleuses professionnelles.

Des formations qui ne pouvaient pas se faire sans le CAFRAD qui met à la disposition des jeunes une pléthore d’autres formations professionnalisantes à des prix à la portée de tous et même du plus démuni. Ces formées sont dorénavant outillés pour embrasser sans crainte la vie active et diminuer à leur niveau le taux de chômage en offrant à leurs congénères un emploi visant leur autonomisation.

Tout compte fait, le CAFRAD peut continuer de se réjouir de ne pas cesser de promouvoir et de travailler à l’autonomisation de la jeunesse camerounaise.

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